"On a souvent reproché à William Miller son audace d'avoir fixé une date pour la seconde venue de Jésus-Christ. Certains prétendent même que l'adventisme est né pour justifier ce rendez-vous manqué des millérites. Un grande déception dans les coeurs, un malentendu pour le plus grand nombre, mais aussi un moyen ayant permis à quelques millérites de rebondir en se souvenant, mais un peu tard, que "nul ne connaît ni le jour, ni l'heure" (Matthieu 24.36)."
Jean-Paul Barquon, "Nous avons échappé à la fin du monde", Revue adventiste, janvier 2013, p.3